Des cours plus ludiques pour motiver les élèves
D’après les études, un collégien sur 5 et un lycéen sur 3 suivraient des cours de soutien scolaire à domicile pour diverses raisons : combler des lacunes, remonter la moyenne générale, rattraper des retards, obtenir une mention très bien au bac, préparer un concours d’entrée dans une grande école… Quelle qu’en soit la raison, pour atteindre son objectif, l’élève doit être stimulé et motivé. Pour ce faire, les professeurs particuliers disposent de nombreuses ressources. Jeux vidéos, jeux éducatifs, jeux d’éveil, animations 3D, programmes multimédias, musique, dessin… il existe mille et une façons de rendre les cours plus ludiques afin de motiver les élèves.
En effet, les méthodes d’apprentissage par le jeu et le loisir permettent à l’élève de se détendre pendant le cours, de se sentir bien, d’explorer d’autres univers… Cela ne peut que le sentir libre dans son apprentissage. Plus encore, ces méthodes ludiques permettent d’aiguiser l’esprit critique. Ces activités s’intègrent parfaitement dans le programme et permettent aux élèves de s’amuser tout en apprenant, et ce quels que soient son niveau et la matière. Bien entendu, le divertissement va être différent en fonction de la matière et du niveau. Par exemple, pour les matières scientifiques, une expérience scientifique dans la vie de tous les jours sera plus parlante que des pages de définitions et de théorèmes. Pour les langues, la chanson et les films sont d’excellents moyens d’apprendre la grammaire, la conjugaison, la prononciation… tout en s’amusant.
En primaire, notamment en CP et CE1 ou CE2, le défi du professeur particulier est d’aider l’élève à assimiler toutes les connaissances nouvelles qui lui sont proposées. Ces classes déterminent l’avenir scolaire de l’enfant, et s’il commence à bloquer sur une notion ou une leçon dès son jeune âge, il va assurément accumuler les retards. Ce qui va fortement influencer ses notes pendant les prochaines années. Le professeur particulier doit alors trouver la méthode la plus adaptée pour stimuler son élève en fonction de son type de mémoire : mémoire visuelle, mémoire auditive ou mémoire kinesthésique.
Des divertissements adaptés aux goûts de l’élève
Pour que l’apprentissage par le jeu soit efficient, il faut que le « jeu » plaise à l’élève, cela va de soi. Pour cela, le professeur doit le questionner sur ses passions : l’art, la musique, le cinéma, le dessin, la littérature, les arts plastiques, le sport, etc. En associant le cours à l’univers de l’enfant, le professeur pourra l’intéresser aux cours. À terme, la matière sera passionnante pour lui. En fonction de ses réponses, le tuteur privé pourra orienter les cours dans ce sens. En prenant plaisir à l’apprendre, il pourra progresser et améliorer ses notes. En effet, la plupart des élèves, notamment les lycéens ne trouvent aucun intérêt à apprendre des matières qui ne sont pas les bases de leur série. Du coup, ils négligent ces matières, ce qui pénalise leurs notes. Car oui, ces matières seront quand même notées au baccalauréat, et même si leur coefficient n’est pas élevé, elles peuvent influencer leur moyenne.
Le meilleur moyen de convaincre les littéraires que les mathématiques sont importantes est de leur montrer qu’ils en ont besoin dans leur vie de tous les jours, et plus tard dans leur carrière. De même, les élèves de la série scientifique qui ont du mal avec le français ou l’histoire-géographie peuvent améliorer leurs notes grâce à des films qui ont un rapport avec le cours. Encore une fois, la méthode doit être adaptée au goût de l’élève. S’il est passionné par le cinéma, les films sont d’excellents moyens de le motiver. Autrement, une visite au musée peut également être proposée pour ceux qui aiment se cultiver.
De même le profil de l’élève doit également pris en compte lors du choix du divertissement. Pour les élèves en échec scolaire, les cours doivent leur procurer un sentiment de confiance en soi. L’autocorrection est l’une des méthodes les plus efficaces pour cela. Plus généralement, c’est l’élève lui-même qui corrige ses exercices de mathématiques, de physique-chimie, d’anglais, de français… En s’autojugeant, il apprend à se regarder avec du recul. De plus, il pourra comprendre de lui-même où il s’est trompé dans son raisonnement. Pour ceux qui aiment l’art, dessiner les principes de la physique peut les aider à mieux comprendre la matière. Dans tous les cas, ces méthodes visent à consolider les acquis et les savoirs des élèves.
L’apprentissage par le jeu : une méthode qui s’adresse à tous les élèves
Il n’est jamais trop tôt pour suivre des cours de soutien scolaire. Quand les notes de l’enfant commencent à baisser alors qu’il n’y a eu aucun changement notable dans sa vie, c’est le signe qu’il se perd dans les tonnes d’informations qu’il doit assimiler. Un cours de soutien scolaire, une aide aux devoirs… l’aidera à remonter sa moyenne générale. Dès la classe de primaire, il est possible de proposer des cours ludiques à l’élève, que ce soit en ligne ou en présentiel.
En effet, de nombreuses applications numériques de soutien scolaire permettent aux élèves de tous niveaux d’apprendre en s’amusant et en améliorant sa culture générale. Quiz, jeux d’histoires, QCM, questions à multiples choix, vrais-faux… Bien entendu, pour les élèves de la primaire ou du collège, l’accompagnement des parents est primordial. En plus de rendre les cours plus ludiques et motivants, ces applications permettent de familiariser les élèves avec le digital, et ce dès leur plus jeune âge. Par ailleurs, il ne faut pas croire que les cours ludiques s’adressent uniquement aux collégiens ou aux lycéens qui ont des difficultés scolaires ou qui visent l’excellence, les adultes qui veulent consolider leurs acquis ou élargir leurs compétences peuvent également y recourir via les applications numériques.
Pour les élèves qui ont besoin du suivi personnalisé d’un professeur particulier, les cours particuliers à domicile avec des méthodes d’apprentissage ludiques leur permettent de bénéficier d’une qualité d’apprentissage exceptionnelle. Cette forme d’apprentissage n’est pas nouvelle, et Einstein la recommandait déjà pour permettre à l’élève de progresser par étape.
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